Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre dans le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la
Charlie Chaplin aurait écrit ce poème lors de son 70ième anniversaire, le 16 avril, 1959. Charlie Chaplin fut l’un des personnages les plus créatifs de l’ère du cinéma muet. Réalisateur, scénariste, producteur, monteur et compositeur de la musique de ses films. Sa carrière a duré plus de soixante-cinq ans. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Estime de Soi. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et Ma souffrance émotionnelle, N’étaient rien d’autre qu’un signal Quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….. Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, Contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Maturité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à percevoir l’abus dans Le fait de forcer une situation, ou une personne, Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment….. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Respect. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce Qui ne m’était pas salutaire…. Personnes, situations, tout ce qui Baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Amour Propre. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre Et j’ai arrêté de faire de grands plans, J’ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd’hui je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De chercher à toujours avoir raison, et me suis Rendu compte de toutes les fois ou je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert… L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui je vis au présent, Là où toute la vie se passe. Aujourd’hui je vis une seule journée à la fois Et ça s’appelle….. Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris que ma tête pouvait Me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur Elle devient une alliée très précieuse Tout ceci est…. Savoir Vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…. Du chaos naissent les étoiles. Aujourd’hui je sais que ca s’appelle… La Vie! par Simplement Francis Je suis le fondateur de ce site, une communauté multi collaborateurs ayant une portée rejoignant sur les médias sociaux des millions de personnes chaque mois.... Visiter le site web Écrire à Simplement Francis Suivez Francis M. 💙 sur les médias sociaux Cet article vous a-t-il été utile ? Partagez-le avec vos amis! Dernières publications de Francis M. 💙 Toutes les publications de Francis M. 💙 Top articles du mois Vous aimerez aussi À propos de l'article " Le jour où je me suis aimé pour de vrai ! " Publié par Francis M. 💙 dans Réflexion sur la vie le 6 mars 2015 SuiteAvis de non-responsabilité Les propos et les conseils de cette publication, incluant les produits et services offerts, sont le point de vue de son auteure, de ses croyances, de son expérience de vie et/ou professionnel. Les Mots est un magazine collaboratif d'inspirations ouvert à tous, donc, nous nous dégageons totalement de toutes responsabilités du résultat de son application. Pour toutes problématiques de santé physique et/ou psychologique, il est conseillé de choisir avec discernement et de consulter un spécialiste médecin, psychologue, services sociaux, etc. afin d’arriver à mettre l’information dans le contexte de votre réalité.
Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient un allié très précieux. Charlie Chaplin. Texte de Kim Mc Millen**, lu par Charlie Chaplin à son 70ème anniversaire. ** Kim McMillen, femme écrivain du Colorado,engagée dans un chemin de développement personnel,
Blog Coaching & développement personnel Temps de lecture 2 minutesLe jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Faussement attribué à Charlie Chaplin, ce poème est de Kim & Alison Mcmillen 2001 Et Nietzsche écrivait il faut avoir beaucoup de chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile dansante » Voilà de quoi méditer pour se réconcilier avec soi… Des STAGES pour mieux se connaître et booster sa confiance en soi Le Parcours du Loup Blanc est un parcours de développement personnel et de coaching spécifiquement élaboré pour les jeunes ados, lycéens, jeunes adultes . ©Parcours du Loup Blanc - Stage confiance en soi estime de soi Transdisciplinaire et progressif, il est adapté à tes besoins. Pourvu d'outils pragmatiques et efficaces, ce coaching PNL te servira autant dans ta vie quotidienne que lors de tes apprentissages. Axé sur la confiance en soi, l'estime de soi, l'affirmation de soi, cette boîte à outils t'ouvre les portes de possibles en te rendant conscient de tes capacités. Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé De revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui je vis au présent, Là où toute la vie se passe. Aujourd’hui je vis une seule journée à la fois Et ça s’appelle.. Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris que ma tête pouvait Me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au

Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle l’estime de soi. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente, et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts, et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle respect. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour-propre. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands plans. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, j’appelle ça simplicité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient une alliée très précieuse. » Ce texte, qui est faussement attribué à Charlie Chaplin, est en fait une traduction tronquée du très beau texte de Kim & Alison McMillen. Voilà l’original complet When I loved myself enough… When I loved myself enough I quit settling for too little. When I loved myself enough I came to know my own goodness. When I loved myself enough I began taking the gift of life seriously and gratefully. When I loved myself enough I began to know I was in the right place at the right time and I could relax. When I loved myself enough I felt compelled to slow down way down. And that has made all the difference. When I loved myself enough I bought a feather bed. When I loved myself enough I came to love being alone surrounded by silence, awed by its spell, listening to inner space. When I loved myself enough I came to see I am not special but I am unique. When I loved myself enough I redefined success and life became simple. Oh, the pleasure of that. When I loved myself enough I came to know I am worthy of knowing God directly. When I loved myself enough I began to see I didn’t have to chase after life. If I am quiet and hold still, life comes to me. When I loved myself enough I gave up the belief that life is hard. When I loved myself enough I came to see emotional pain is a signal I am operating outside truth. When I loved myself enough I let the tomboy in me swing off the rope in Jackass Canyon. Yes! When I loved myself enough I learned to meet my own needs and not call it selfish. When I loved myself enough the parts of me long-ignored, the orphans of my soul, quit vying for attention. That was the beginning of inner peace. Then I began seeing clearly. When I loved myself enough I began to see that desires of the heart do come, and I grew more patient and calm, except when I forgot. When I loved myself enough I quit ignoring or tolerating my pain. When I loved myself enough I started feeling all my feelings, not analysing them really feeling them. When I do, something amazing happens. Try it. You will see. When I loved myself enough my heart became so tender it could welcome joy and sorrow equally. When I loved myself enough I started meditating every day. This is a profound act of self-love. When I loved myself enough I came to feel like a gift to the world and I collected beautiful ribbons and bows. They still hang on my wall to remind me. When I loved myself enough I learned to ask Who in me is feeling this way?’ when I feel anxious, angry, restless or sad. If I listen patiently I discover who needs my love. When I loved myself enough I no longer needed things or people to make me feel safe. My judgement called it disloyal. Now I see it as self-loving. When I loved myself enough I gave up perfectionism that killer of joy. When I loved myself enough I could tell the-truth about my gifts and my limitations. When I loved myself enough I quit answering the telephone when I don’t want to talk. When I loved myself enough forgiving others became irrelevant. When I loved myself enough I could remember, during times of confusion, struggle or grief, that these too are part of me and deserve my love. When I loved myself enough I could allow my heart to burst wide open and take in the pain of the world. When I loved myself enough I started picking up litter on the street. When I loved myself enough I could feel God in me and see God in you. That makes us divine! Are you ready for that? When I loved myself enough I started writing about my life and views because I knew this was my right and my responsibility. When I loved myself enough I began to see my purpose and gently wean myself from distractions. When I loved myself enough I saw that what I resisted persisted like a small child tugging my skirt. Now I am curious and gentle when resistance comes tugging. When I loved myself enough I learned to stop what I am doing, if even for a moment, and comfort the part of me that is scared. When I loved myself enough I learned to say no when I want to and yes when I want to. When I loved myself enough I saw beyond right and wrong and became neutral. At first I thought this was indifference; now I see the clarity that comes with neutrality. When I loved myself enough I began to feed my hunger for solitude and revel in the inexplicable contentment that is its companion. When I loved myself enough I could see how funny life is, how funny I am and how funny you are. When I loved myself enough I recognised my courage and fear, my naivety and wisdom, and I make a place for each at my table. When I loved myself enough I started treating myself to a massage at least once a month. When I loved myself enough I realised I am never alone. When I loved myself enough I stopped fearing empty time and quit making plans. Now I do what feels right and am in step with my own rhythms. Delicious! When I loved myself enough I quit trying to impress my brother. When I loved myself enough I stopped trying to banish the critical voices from my head. Now I say, Thankyou for your views’ and they feel heard. End of discussion. When I loved myself enough I let the part of me that still misses Kent feel sad instead of trying to stop her from loving him. When I loved myself enough I began buying a hostess fruit pie for the teenager in me who loves them so. Once in a while, cherry. When I loved myself enough I quit trying to be a saviour for others. When I loved myself enough I lost my fear of speaking my truth for I have come to see how good it is. When I loved myself enough I began pouring my feelings into my journals. These loving companions speak my language. No translation needed. When I loved myself enough I stopped seeking experts’ and started living my life. When I loved myself enough I came to see how my anger teaches about responsibility and my arrogance teaches about humility, so I listen to both carefully. When I loved myself enough I started eating organically grown food except for those occasional fruit pies of course. When I loved myself enough I could be at ease with the comings and goings of judgement and despair. When I loved myself enough I was able to be treated to a $50 haircut and enjoy every minute of it. When I loved myself enough I quit having to be right which makes being wrong meaningless. When I loved myself enough I learned to grieve for the hurts in life when they happen instead of making my heart heavy from lugging them around. When I loved myself enough I forgave myself for all the times I thought I wasn’t good enough. When I loved myself enough things got real quite inside. Real nice. When I loved myself enough I began listening to the wisdom of my body. It speaks so clearly through its fatigue, sensitivities, aversions and hungers. When I loved myself enough I quit fearing my fear. When I loved myself enough I quit rehashing the past and worrying about the future – which keeps me in the present where aliveness lives. When I loved myself enough I realized my mind can torment and deceive me, but in the service of my heart it is a great and noble ally. When I loved myself enough I began to taste freedom. When I loved myself enough I found my voice and wrote this little book.

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le jour où je me suis aimé pour de vrai