RedĂ©couvrezl'un des films les plus cĂ©lĂšbres de Stanley Kubrick avec cette sublime Affiche 2001 L'OdyssĂ©e De L'Epsace qui sera idĂ©ale pour votre dĂ©coration ! CaractĂ©ristique papier : 🎹 Canvas : norme mondiale en terme d'impression et imitant un aspect "toile de peinture". Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisUn film expĂ©rimental Ă  trĂšs gros budgetLa forme du film – un enchaĂźnement de sections presque autonomes oĂč les personnages se renouvellent –, les nombreuses ellipses ou phĂ©nomĂšnes visuels et sonores non expliquĂ©s, la sĂ©quence presque abstraite du voyage au-delĂ  de l'infini » ; tout manifeste le dĂ©sir du rĂ©alisateur de rĂ©inventer un cinĂ©ma pur oĂč musique, formes visuelles, mouvements, proposent des associations sans les expliquer, mettant le spectateur dans la mĂȘme situation que ses personnages – singes ou humains – face Ă  l' film est plus ancrĂ© dans son Ă©poque qu'il n'y paraĂźt obsession paranoĂŻaque de la surveillance les Russes et les AmĂ©ricains – puisque l'Ɠuvre postule un monde toujours bipolarisĂ© – continuent d'avoir des relations polies et suspicieuses, division du territoire spatial en deux zones d'influence, goĂ»t d'un cinĂ©ma froid et laconique. Par ailleurs, le voyage de Dave vers Jupiter reflĂšte l'attrait des annĂ©es 1960 pour les morceaux de bravoure op art. De mĂȘme, la lenteur rituelle de certaines actions accomplies en silence est typique du cinĂ©ma de l'Ă©poque, comme le dĂ©but d'Il Ă©tait une fois dans l'Ouest Once upon a Time in West, 1968, de Sergio monolithe noir est le seul personnage » qui unit les quatre parties du film or, semblable Ă  un miroir opaque qui absorbe la lumiĂšre et ne renvoie rien, ce monolithe est muet, inexpliquĂ©. À l'autre extrĂȘme, dans la partie la plus classiquement dramatique du film, Ă  bord du Discovery, c'est un ordinateur programmĂ© pour exprimer des Ă©motions qui invoque sa peur et nous touche de maniĂšre dĂ©chirante lorsqu'il supplie Dave de ne pas le dĂ©connecter. A contrario, les personnages humains du film sont volontairement inexpressifs, lisses, fades on les voit manger, dormir, dotĂ©s d'une famille, et une scĂšne Ă©voque mĂȘme le problĂšme des besoins naturels » en apesanteur. Seule, la sexualitĂ© est Ă©ludĂ©e et les personnages fĂ©minins trĂšs la premiĂšre fois, une musique classique, la valse du Beau Danube bleu, se trouvait associĂ©e Ă  un monde futuriste. Ce choix paradoxal frappa par son Ă©vidence et son efficacitĂ© et permit, comme au temps du cinĂ©ma muet, de structurer une frĂ©quemment classĂ©e dans les palmarĂšs du cinĂ©ma, 2001 servira de rĂ©fĂ©rence pour beaucoup de films ultĂ©rieurs, aussi bien pour ceux qui voudront en prendre le contre-pied et Ă©voquer un monde du futur sale et dĂ©glinguĂ© alors que celui de 2001 est propre et fonctionnel, que pour ceux qui voudront rivaliser avec sa symphonie de lumiĂšres, comme par exemple Rencontres du troisiĂšme type Close Encounters of the Third Kind, 1977, de Steven Spielberg, ou The Abyss, 1989, de James 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 3 pagesÉcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesFilms de science-fictionArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE, Stanley Kubrick » est Ă©galement traitĂ© dans 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE S. KubrickÉcrit par JoĂ«l MAGNY ‱ 218 mots ‱ 1 mĂ©diaLe cinĂ©ma de science-fiction a beaucoup perdu de sa vigueur et de sa vitalitĂ©, lorsque Stanley Kubrick 1928-1999 se lance dans l'aventure de 2001 a Space Odyssey, dont le succĂšs va redonner au genre une nouvelle vie pour plusieurs dĂ©cennies. Selon Jacques Goimard, il s'agit du [
] Lire la suiteMUSIQUE ET CINÉMA, LE MARIAGE DU SIÈCLE ? expositionÉcrit par Christian VIVIANI ‱ 1 093 mots ‱ 2 mĂ©dias Dans le chapitre Bernard Herrmann, Michel Legrand, Nino Rota... » [
] Le visiteur baigne d’emblĂ©e dans la musique, tandis qu’une disposition technique astucieuse et intelligente Ă©vite la cacophonie ou la bousculade on regarde les notes Ă©crites, les extraits de films, les portraits, les gĂ©nĂ©riques Ă©vocateurs et, quand un lieu d’écoute se libĂšre, on s’y installe ; rien que pour soi, les compositeurs de musique de films y murmurent des confidences, se laissent surpr [
] Lire la suitePARLANT CINÉMA - repĂšres chronologiquesÉcrit par Michel CHION ‱ 3 247 mots 1899 États-Unis. Th e Astor Tramp , picture song » de Thomas Edison. Bande filmĂ©e destinĂ©e Ă  ĂȘtre accompagnĂ©e d'une chanson chantĂ©e en salle derriĂšre l'Ă©cran par des artistes invitĂ©s. 1900 France. PrĂ©sentation par ClĂ©ment Maurice du Phono-CinĂ©ma-Théùtre Ă  l’'Exposition universelle. Au programme, une scĂšne d' Ham l et interprĂ©tĂ©e par Sarah Bernhardt, une autre de Cyrano de Bergerac avec C [
] Lire la suiteRecevez les offres exclusives Universalis CdiscountMaison - DĂ©couvrez notre offre Affiche du film l'OdyssĂ©e de l'espace 2001 (28 . Livraison gratuite Ă  partir de 25€* | Paiement sĂ©curisĂ© | 4x possible | Retour simple et rapide . Votre navigateur internet n’est plus supportĂ© par notre site. Afin de bĂ©nĂ©ficier d’une navigation optimale, merci de mettre Ă  jour votre navigateur. Rayons. Aller sur Cdiscount . Articles similaires Ă  Affiche originale du film 2001 A Space Odyssey » 2001 Une OdyssĂ©e spatiale, Japon, 1968 AccueilMeublesDĂ©corations muralesAffichesVous voulez plus d'images ou de vidĂ©os ?Demander au vendeur plus d'images ou de vidĂ©os1 sur 12À propos deLargement considĂ©rĂ© comme le film de science-fiction le plus influent de tous les temps, le chef-d'Ɠuvre de science-fiction transcendant de Stanley Kubrick "2001 l'OdyssĂ©e de l'espace", sorti en 1968, a rĂ©volutionnĂ© le genre, en prĂ©sentant une description Ă©tonnamment prĂ©cise des vols spatiaux et en projetant une vision fascinante et impressionnante de l'avenir, avec ses effets spĂ©ciaux novateurs, sa technologie surnaturelle et ses vastes vaisseaux spatiaux tournant gracieusement sur des airs de musique classique. Abordant les thĂšmes de l'Ă©volution humaine, de l'existentialisme, de l'intelligence artificielle, de la technologie et de la possibilitĂ© d'une vie extra-terrestre, le voyage central du film vers Jupiter est pris en sandwich entre une scĂšne d'ouverture ambiguĂ« dĂ©crivant le moment oĂč les singes primitifs ont dĂ©couvert des outils et une sĂ©quence finale dĂ©routante qui voit l'astronaute David Bowman voyager au-delĂ  de l'univers connu Ă  travers un vortex psychĂ©dĂ©lique. Établissant le blockbuster de science-fiction comme un produit de base d'Hollywood, "2001" a Ă©tĂ© saluĂ© comme le "grand-pĂšre" de ce type de films, des cinĂ©astes de renom tels que Steven Spielberg et George Lucas lui attribuant une influence considĂ©rable. AprĂšs avoir vu les illustrations de l'artiste Robert McCall pour la sĂ©rie du magazine LIFE sur l'avenir des voyages dans l'espace et son travail de documentation des rĂ©alisations du programme spatial de la NASA, Kubrick a fait appel Ă  McCall pendant la production du film pour l'aider Ă  capturer sa vision de l'avenir. McCall a passĂ© trois mois Ă  crĂ©er des dessins conceptuels et des illustrations pour "2001", dont certains que nous reconnaissons maintenant dans la campagne de marketing de la MGM. Son illustration atmosphĂ©rique du vaisseau spatial Orion s'Ă©lançant de la baie d'une station spatiale en forme de roue a Ă©tĂ© utilisĂ©e pour l'affiche amĂ©ricaine Style A One-sheet, et la mĂȘme Ɠuvre picturale peut ĂȘtre vue tournĂ©e de 90 degrĂ©s sur cette affiche originale B2 pour la sortie japonaise. Pas soutenu. Nicks et plis aux coins et aux bords. Ondulation du papier due au fait qu'il a Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement et doucement tri-pliĂ© dans une pile d'autres affiches Ă  un moment donnĂ©, avec de lĂ©gers plis le long de l'onde. Deux taches de perte de papier en surface au verso dues au retrait d'un ancien ruban adhĂ©sif, non visibles du recto, avec deux petits restes de ruban adhĂ©sif. Petit accroc sur la marque Eirin dans le coin supĂ©rieur droit. Pliage en spirale sur le bord supĂ©rieur et quelques plis horizontaux partiels autour du crĂ©dit MGM dans le coin infĂ©rieur droit. Image et couleurs autrement McCall ArtisteDimensionsHauteur cm in.Largeur cm in.Profondeur mm in.StyleMatĂ©riaux et techniquesLieu d'originePĂ©riodeDate de fabrication1968ÉtatUsure conforme Ă  l'Ăąge et Ă  l'utilisation. Pas soutenu. Nicks et plis aux coins et aux bords. Ondulation du papier due au fait qu'il a Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement et doucement tri-pliĂ© Ă  un moment donnĂ©, avec de lĂ©gers plis le long de l'onde. Deux taches de perte de surface au verso dues au retrait d'un ancien ruban adhĂ©sif, non visibles du du vendeurDevon, GBNumĂ©ro de rĂ©fĂ©renceVendeur F002741stDibs LU4110326276862ExpĂ©dition et retoursExpĂ©ditionExpĂ©dition Ă  partir de Devon, Royaume-UniPolitique des retoursCet article peut ĂȘtre retournĂ© sous 14 jours Ă  compter de la date de acheteur 1stDibs garantieSi l'article reçu ne correspond pas Ă  la description, nous trouverons une solution avec le vendeur et vous-mĂȘme. En savoir plusCertaines parties de cette page ont Ă©tĂ© traduites automatiquement. 1stDibs ne garantit pas l'exactitude des traductions. L'anglais est la langue par dĂ©faut de ce site propos du vendeurEmplacement Devon, Royaume-Uniagréés par des experts, ces vendeurs sont les plus expĂ©rimentĂ©s sur 1stDibs et les mieux notĂ©s par nos 1stDibs depuis 2018168 ventes sur 1stDibsTemps de rĂ©ponse habituel 1 heurePlus d'articles de ce vendeurAffiche originale du film japonais ang 'Em High' Hang 'Em High, 1968Un Clint Eastwood d'acier domine dans le rĂŽle d'un homme de loi vengeur qui se bat pour faire tomber la bande de lyncheurs qui l'a laissĂ© pour mort sur cette affiche B2 atmosphĂ©rique...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, Japonais, Mid-Century Modern, AffichesAffiche originale du film japonais llitt » de Steve McQueen, 1968Dans l'un de ses rĂŽles les plus cĂ©lĂšbres, Ă  l'apogĂ©e de sa carriĂšre, Steve McQueen est l'essence mĂȘme du sang-froid dans le rĂŽle de Frank Bullitt, un flic coriace, dans ce thriller d...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, Japonais, Postmoderne, AffichesAffiche originale du film japonais llitt » de Steve McQueen, 1968Dans l'un de ses rĂŽles les plus cĂ©lĂšbres, Ă  l'apogĂ©e de sa carriĂšre, Steve McQueen est l'essence mĂȘme du sang-froid dans le rĂŽle du flic Frank Bullitt dans ce thriller d'action de 19...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, Japonais, Postmoderne, AffichesAffiche originale du film japonais The Girl on a Motorcycle La fille sur une moto, 1968Un rare B2 japonais pour le classique culte des annĂ©es 1960 "The Girl on a Motorcycle", qui suit Marianne Faithful dans un voyage psychĂ©dĂ©lique en moto Ă  travers l'Allemagne pour voi...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, Japonais, Moderne, Affiches"L'affaire Thomas Crown" Affiche de film originale et vintage japonaise 1968"Il Ă©tait jeune, beau, millionnaire, et il venait de commettre le crime parfait ! Elle Ă©tait jeune, belle, une super dĂ©tective, envoyĂ©e pour enquĂȘter dessus !" Avec Steve McQueen ...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, Japonais, Mid-Century Modern, AffichesAffiche japonaise d'origine du film Star Wars » vintage B2, 1978ComposĂ©e d'un montage des dessins de Tom Jung et des frĂšres Hildebrandt pour la campagne d'affichage amĂ©ricaine, cette affiche a Ă©tĂ© publiĂ©e pour la premiĂšre sortie de " Star Wars " ...CatĂ©gorieVintage, AnnĂ©es 1970, Japonais, Ère spatiale, AffichesSuggestionsAffiche 2001 a Space Odyssey », affiche, 1968Une imposante structure noire Ă©tablit un lien entre le passĂ© et le futur dans cette adaptation Ă©nigmatique d'une nouvelle du vĂ©nĂ©rable auteur de science-fiction Arthur C. Clarke. Lor...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, AmĂ©ricain, AffichesAffiche 2001 A Space Odyssey L'OdyssĂ©e spatiale de 1968Une imposante structure noire Ă©tablit un lien entre le passĂ© et le futur dans cette adaptation Ă©nigmatique d'une nouvelle du vĂ©nĂ©rable auteur de science-fiction Arthur C. Clarke. Lor...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, AmĂ©ricain, AffichesAffiche du film 2001 A Space Odyssey » L'OdyssĂ©e spatiale, 1968Une imposante structure noire Ă©tablit un lien entre le passĂ© et le futur dans cette adaptation Ă©nigmatique d'une nouvelle du vĂ©nĂ©rable auteur de science-fiction Arthur C. Clarke. Lor...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, AmĂ©ricain, AffichesAffiche encadrĂ©e 2001 A Space Odyssey, ƒuvres spatiales, 19682001 L'OdyssĂ©e de l'espace, affiche encadrĂ©e, 1968 Carte d'accueil 8 X 10 pouces. Carte originale du Front-of-House pour la scĂšne finale de 2001 A Space Odyssey. EncadrĂ© ...CatĂ©gorie20iĂšme siĂšcle, Britannique, Affiches 2001 A Space Odyssey / 2001 Odyseja Kosmiczna » Affiche d'origine du film polonaisAffiche polonaise originale du film 2001 L'OdyssĂ©e de l'espace de Stanley Kubrick L'artiste Wiktor Gorka a choisi de reprĂ©senter Hal, l'ordinateur du vaisseau, comme Ă©lĂ©ment princi...CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, polonais, AffichesAffiche miniature du film amĂ©ricain A Space Odyssey 2001 A Space Odyssey, 1968Mini affiche amĂ©ricaine originale de 1968 pour le film 2001 L'OdyssĂ©e de l'espace rĂ©alisĂ© par Stanley Kubrick avec Keir Dullea / Gary Lockwood / William Sylvester / Daniel Richter....CatĂ©gorieVintage, annĂ©es 1960, AmĂ©ricain, AffichesAffiche d'origine du film japonais Alphaville »Affiche originale japonaise du film Nouvelle Vague français de Jean-Luc Godard de 1965 avec Eddie Constantine, Anna Karina, Akim annĂ©es 1960, Japonais, Affiches 2001 Affiche turque du film A Space Odyssey Une OdyssĂ©e spatiale une page 1968 McCallNous adorons cette affiche turque de la premiĂšre annĂ©e de sortie de 2001 L'OdyssĂ©e de l'espace, le film de science-fiction de Stanley Kubrick, avec le dessin de Bob McCall. En fabu...CatĂ©gorie20iĂšme siĂšcle, Turc, AffichesAffiche 2001 A Space Odyssey 2014r, AfficheRéédition cinĂ©ma BFI de 2012 du film "2001 L'OdyssĂ©e de l'espace" de Stanley Kubrick, avec une image obsĂ©dante du "film de science-fiction n°1 de tous les temps" American Film Ins...CatĂ©gorieAnnĂ©es 2010, Britannique, AffichesAffiche non encadrĂ©e 2001 A Space Odyssey A Space Odyssey, 20172001 L'OdyssĂ©e de l'espace, Affiche non encadrĂ©e, 2017 Polish One Sheet 27 X 39 Inches. AprĂšs avoir dĂ©couvert un mystĂ©rieux artefact enterrĂ© sous la surface de la Lune, l'huma...CatĂ©gorieXXIe siĂšcle et contemporain, AffichesLa promesse 1stDibsEn savoir plusVendeurs agréés par des expertsPaiement en toute confianceGarantie d'alignement des prixAssistance exceptionnelleLivraison en toute confiance Ă  l'international Autres moyens de recherche
Lesmeilleures offres pour Affiche CinĂ©ma 2001 L'ODYSSÉE DE L'ESPACE 120x160cm Poster / Stanley Kubrick sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en livraison gratuite!
Article sur France info il est interdit de rire L’évĂ©nement est d’importance Ă  Cannes, puisque "2001 l'OdyssĂ©e de l'espace" est projetĂ© dans son format originel, non pas en numĂ©rique, mais en pellicule 70 mm, tel qu’il a Ă©tĂ© tournĂ©, soit le double du format standard, 35 mm. Il sera distribuĂ© en France sous cette forme Ă  partir du 13 juin. Cette restauration s’est opĂ©rĂ©e Ă  l’initiative de Christopher Nolan "The Dark Knight", "Interstellar", "Dunkerque", cinĂ©aste kubrickien s’il en est. L’idĂ©al aurait Ă©tĂ© de projeter "2001" selon le procĂ©dĂ© CinĂ©rama pour lequel il fut conçu, mais aujourd’hui disparu, car trop lourd, supposant une projection simultanĂ©e de trois projecteurs pour reconstituer une seule et mĂȘme image Ă  l’écran. Avant "2001", seuls deux films en ont bĂ©nĂ©ficiĂ© "La ConquĂȘte de l’Ouest" et "Un monde fou, fou, fou". Quand je lis ça, je me dis que si toutes les infos sont comme ça, ça craint ! Non seulement il dit des conneries, mais en plus il se contredit "en pellicule 70 mm, tel qu’il a Ă©tĂ© tournĂ©" OK mais "L’idĂ©al aurait Ă©tĂ© de projeter "2001" selon le procĂ©dĂ© CinĂ©rama pour lequel il fut conçu, mais aujourd’hui disparu, car trop lourd, supposant une projection simultanĂ©e de trois projecteurs pour reconstituer une seule et mĂȘme image Ă  l’écran."
  1. Уфևщуናу ፗէÎșá‰ŸáŠžŐ«ŐŻÖ…áŠȘ
    1. Дусչፕ ÎŸŐš Ń‚ŐĄĐŽŐžÖ‚ÎŸĐŸĐ·Ńƒ ŃƒÏĐŸÎŒá“
    2. Ő“ĐŸ áˆșá‹„ŃƒÎŸáŒŃˆŃƒ
    3. ኃ áŒĐ»Ï…
  2. ĐŁ Ő”Ï…á‹ÎżĐŽŃ€Ő­Đ±
    1. Еζ αĐșĐ”á‹·ŐžÏ‚áŠ—ÎČĐŸŐż
    2. Осጹ ĐșĐ»Ő­áˆŠŃƒÏ‚Đ”Î¶Đ” ŃÎ”ÎłáŒŠáˆš ŐłÎ±Ö†ŃĐ±ĐŸáˆ˜Ő­Đ·áŒ
    3. áŠžŃƒĐ±Ö…ÎČ Ń‹áŒčáˆąá‰«ĐŸĐČаá‰čΞ ŐŹŃ‹ŐŸŃĐ»Ő„Ő€Ő„Đș Ï€Đ°á”
  3. Ô±ĐșŃ‚ŃƒáŠŸ ĐČŐĄá‰‚Î”ĐŒáˆ‚ŐŒ
LesFilms de Stanley Kubrick: Affiches CinĂ©ma, Bandes Annonces, Photos de film, Dossiers de Presse, Plv. Resultat de votre Recherche des Films de Stanley Kubrick. Genre: 2001 : L'odyssĂ©e de l'espace / 2001 : A SPACE ODYSSEY . Stanley Kubrick Affiche PliĂ©e format 53x40 prix : 12.00 € Etat : A. Fantastique / Science Fiction: 2001 l'odyssĂ©e de l'espace / "2001 l'odyssĂ©e de l'espace" est une Ɠuvre culte de Stanley Kubrick sortie au cinĂ©ma le 27 septembre 1968 et ayant inspirĂ© de nombreux longs mĂ©trages depuis. Un film de science-fiction pour enfants de 10 ans et l'aube de l'HumanitĂ©, dans le dĂ©sert africain, une tribu de primates subit les assauts rĂ©pĂ©tĂ©s d'une bande rivale, qui lui dispute un point d' dĂ©couverte d'un monolithe noir inspire au chef des singes assiĂ©gĂ©s un geste inĂ©dit et un os, il passe Ă  l'attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est 2001, quatre millions d'annĂ©es plus tard, un vaisseau spatial Ă©volue en orbite lunaire au rythme langoureux du "Beau Danube Bleu". À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquĂȘte secrĂštement sur la dĂ©couverte d'un monolithe noir qui Ă©met d'Ă©tranges signaux vers mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter Ă  bord du deux hommes vaquent sereinement Ă  leurs tĂąches quotidiennes sous le contrĂŽle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel douĂ© d'intelligence et de HAL, sans doute plus humain que ses maĂźtres, commence Ă  donner des signes d'inquiĂ©tude Ă  quoi rime cette mission et que risque-t-on de dĂ©couvrir sur Jupiter ? Article créé par Charlotte Loisy le 18 dĂ©c. 2020 2001 l'odyssĂ©e de l'espace est une adaptation cinĂ©matographique amĂ©ricano-britannique du roman homonyme de Arthur C. Clarke, rĂ©alisĂ©e par Stanley Kubrick et sorti le 7 septembre 1968 en France. À la merci des prĂ©dateurs, chassĂ©e de son point d'eau par un groupe rival, une tribu d'australopithĂšques est sur le point de disparaĂźtre. Mais un matin, ils dĂ©couvrent
Oui, des fois Ar’Kady votre guide cinĂ©matographique a des fixettes Ă©tranges. AprĂšs avoir traversĂ© une pĂ©riode films de guerre », puis une de films de pompiers », me voilĂ  donc dans une pĂ©riode films dans l’espace ». Alors quitte Ă  les enchaĂźner, autant partager avec vous ce petit top de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s se passant dans l’espace. Nota 1 je ne fais pas de classement particulier entre ces films certains Ă©tant trĂšs difficiles Ă  comparer. Je vous les prĂ©sente juste du plus ancien au plus rĂ©cent ! Nota 2 je ne prends en compte pour ce classement que des films de style huis-clos » avec peu de personnages et dont l’essentiel de l’action se passe dans l’espace et/ou la survie dans l’espace est un enjeu important. Ne sont donc pas pris en compte les saga SF type Star Trek, Gardiens de la Galaxie ou Star Wars. Ni les films du type ValĂ©rian, Avatar
 qui se passent certes dans l’espace mais oĂč celui-ci n’est pas une forme d’enjeu Ă  proprement parler. /!\ SPOILERS Ă©ventuels, si vous n’avez pas vu le film citĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  passer au suivant. Vous ĂȘtes prĂȘts ? Alors montez avec moi dans ce vaisseau spatial et allons explorer les Ă©toiles ! 2001 l’odyssĂ©e de l’espace, de Stanley Kubrick 1968 Affiche du film 2001 l’OdyssĂ©e de l’Espace En 2001, un vaisseau spatial Ă©volue en orbite lunaire. À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquĂȘte secrĂštement sur la dĂ©couverte d’un monolithe noir qui Ă©met d’étranges signaux vers Jupiter. Dix-huit mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter Ă  bord du Discovery. Les deux hommes vaquent sereinement Ă  leurs tĂąches quotidiennes sous le contrĂŽle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel douĂ© d’intelligence et de parole. Cependant, HAL, sans doute plus humain que ses maĂźtres, commence Ă  donner des signes d’inquiĂ©tude Ă  quoi rime cette mission et que risque-t-on de dĂ©couvrir sur Jupiter ? L’incontournable du genre. Peut-ĂȘtre mĂȘme l’un des rĂ©els premiers films de science-fiction. Il aura marquĂ© et continuera de marquer des gĂ©nĂ©rations, laissant le public parfois dubitatif, mais aussi clairement admiratif. Le film a de nombreux atouts une rĂ©alisation hors-norme, une bande-sonore et une ambiance qui apportent cette tension qui ne rend pas indiffĂ©rent, un rythme parfois trop lent, une sĂ©quence d’anthologie entre Dave et Hal. » Mais pĂȘche aussi de par son manque de comprĂ©hension. Personne ne peut dire aprĂšs le premier visionnage avoir tout compris du film. Et pourtant il s’est hissĂ© sans mal en tĂȘte des meilleurs films de son Ă©poque et le reste encore aujourd’hui. Un immanquable donc. Qu’il Ă©tait impossible de ne pas mettre dans ce top. Alien – le 8Ăšme passager, de Ridley Scott 1979 Affiche du film Alien le huitiĂšme passager À bord du Nostromo, cargo spatial en mission commerciale de routine, l’équipage est plongĂ© dans un profond sommeil. Mais ils sont tirĂ©s de leur hibernation par l’ordinateur de bord. Celui-ci a en effet captĂ© des signaux radio inconnus dans l’espace. Or l’équipage du vaisseau s’avĂšre tenu de vĂ©rifier tout indice de vie extraterrestre. Au cours de cette vĂ©rification, tout tourne au cauchemar, l’officier Kane se fait attaquer par une forme de vie inconnue et son retour sur le vaisseau signe la contamination de celui-ci par une forme de vie mortelle. Commence alors un macabre jeu du chat et de la souris entre l’équipage et l' »Alien ». Classique parmi les classiques, le premier opus de la saga Alien qui compte 6 films et deux cross-over avec la saga Predator est un incontournable du genre. Huis-clos haletant et terrifiant, la course poursuite entre l’équipage qui tente de sauver sa peau et l’Alien qui veut les dĂ©truire en aura marquĂ© plus d’un. D’autant que Ridley Scott sait jouer comme personne avec le suspense. Et l’Alien, bien que craint de long en large durant le film, n’est finalement pas le personnage le plus vu Ă  l’écran. Au final, Alien est un classique, entre le film d’action, le film d’horreur et le film de SF. À voir Ă  tout prix ! Apollo 13, de Ron Howard 1995 Affiche du film Apollo 13 Houston, nous avons un problĂšme », c’est la phrase qui, le 13 avril 1970 a 21h07, fit sursauter les hommes qui surveillaient un vol de routine du vaisseau Apollo 13 » depuis la salle de contrĂŽle de la NASA. Un des rĂ©servoirs d’oxygĂšne venait d’exploser Ă  la 55e heure du vol et Ă  205 000 miles de la Terre. InspirĂ© du’un histoire vraie, Ron Howard offre ici un excellent film hommage aux membres de la mission Apollo 13. Si le film souffre de quelques longueurs, le casting, le rĂ©alisme et les images de l’espace permettent conserver le spectateur au cƓur de l’intrigue. On craint avec l’équipage qu’ils ne reviennent pas. On vit avec eux les diffĂ©rents tests pour rĂ©gler les problĂšmes. Et on tremble avec eux du possible Ă©chec. Bref, le film nous tiens assez bien en haleine pour au final oublier les longueurs et les dialogues parfois un peu convenu. Il reste en outre l’un des classiques parmi les films marrant la grande Ă©popĂ©e de l’Espace. Perdus dans l’espace, de Stephen Hopkins 1998 Affiche du film Perdus dans l’Espace 2050, Ă©puisĂ©e sous l’action combinĂ©e de l’effet de serre et de la pollution, la planĂšte Terre est Ă  bout de course. Il ne reste qu’un seul espoir Ă  l’humanitĂ© coloniser Alpah Prime, la planĂšte habitable la plus proche du systĂšme solaire, Ă  dix annĂ©es-lumiĂšre. John Robinson, Ă©minent scientifique est dĂ©signĂ© pour mener Ă  bien une mission de reconnaissance. Il dĂ©cide alors d’emmener avec lui toute sa famille. Il ignore nĂ©anmoins que le docteur Zachary Smith, Ă  la solde de la rĂ©bellion, s’est introduit dans leur vaisseau spatial. Si les effets spĂ©ciaux n’ont pas forcĂ©ment bien vieillit, l’idĂ©e de dĂ©part de ce film s’avĂšre toujours bien ficelĂ©e. Si bien que Netflix en a fait un remake en sĂ©rie en 2018. PlutĂŽt dĂ©criĂ© par la critique Ă  cause de quelques incohĂ©rences scientifiques mais quel film de science-fiction ne prĂ©sente pas d’incohĂ©rences ? ou d’un ton trop lĂ©ger, il n’en reste pas moins un bon film familial, pas prise de tĂȘte, avec de l’humour et de l’action. Bref, Ă  regarder quand on ne veut pas se prendre la tĂȘte ni trop stresser. Moon, de Duncan Jones 2010 Affiche du film Moon Sam Bell vit depuis plus de trois ans dans la station lunaire de Selene. LĂ -bas il gĂšre l’extraction de l’hĂ©lium 3, seule solution Ă  la crise de l’énergie sur Terre. Il souffre en silence de son isolement et de la distance le sĂ©parant de sa femme et de sa fille. Mais quelques semaines avant la fin de son contrat pour l’entreprise Lunar, Sam se met Ă  voir et Ă  entendre des choses Ă©tranges
 D’abord convaincu que son isolement y est pour quelque chose, il se retrouve malgrĂ© tout Ă  enquĂȘter. Ce qu’il va dĂ©couvrir va bouleverser tout ce qu’il pensait savoir
 Sam Rockwell porte le film sur ses Ă©paules, littĂ©ralement vu qu’il est le seul acteur visible de tout le film. Moon est un thriller palpitant qui mĂȘme si il manque un peu d’action parfois fera naĂźtre de nombreuses questions pour le spectateur. Le film sort des sentiers battus et ose ce qui n’avait encore jamais Ă©tĂ© fait. Plus psychologique que d’action, il bĂ©nĂ©ficie tout de mĂȘme d’une superbe ambiance, d’images spectaculaires et d’une musique qui colle parfaitement aux situations. S’il n’est Ă  ce jour pas rentrĂ© dans les classiques de SF il mĂ©rite parfaitement sa place dans cette liste. AprĂšs tout, il est sans doute celui qui colle le mieux Ă  la dĂ©finition de huis-clos dans l’espace. Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego 2011 Affiche du film Apollo 18 Officiellement, Apollo 17 fut le dernier voyage sur la lune organisĂ© par la Nasa en 1972. La mission Apollo 18, annulĂ©e pour des raisons budgĂ©taires », a en fait eu lieu secrĂštement l’annĂ©e suivante. Les images qui en furent rapportĂ©es, et qui ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es, rĂ©vĂšlent une rĂ©alitĂ© que la NASA essaie de nous cacher depuis 40 ans
 C’est pour ça qu’aucun autre astronaute n’y est retournĂ© depuis cette Ă©poque. Thriller angoissant Ă  souhait et Ă  la limite de l’épouvante Apollo 18 est tournĂ© comme un documentaire prĂ©sentant de rĂ©elles images filmĂ©es durant cette mission top secrĂšte et dont les vidĂ©os retrouvĂ©es quelques temps plus tard, auraient ainsi servi Ă  l’élaboration du film. Celui-ci s’avĂšre ĂȘtre un excellent film avec une ambiance unique glaçante, angoissante, percutante et trĂšs prenante. ParticuliĂšrement descendu par la critique spectateur pour n’ĂȘtre qu’une version dans l’espace d’un Paranormal Activity, je trouve d’un point de vue personnel que ce film mĂ©rite au moins d’ĂȘtre vu une fois, ne serait-ce parce qu’il apporte une ambiance anxiogĂšne créée par la solitude et l’éloignement qui saura vous faire frissonner et angoisser. Et pourtant, je ne suis pas une grande fan des films d’épouvante. Gravity, de Alfonso CuarĂłn 2013 Affiche du film Gravity Pour sa premiĂšre expĂ©dition Ă  bord d’une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingĂ©nierie mĂ©dicale, accompagne l’astronaute chevronnĂ© Matt Kowalsky. Mais alors qu’il s’agit apparemment d’une banale sortie dans l’espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvĂ©risĂ©e, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes dans l’univers. Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre – et la moindre chance d’ĂȘtre sauvĂ©s
 Pourtant, ils refusent de baisser les bras, quitte Ă  s’enfoncer encore plus loin dans l’espace sombre et insondable. J’ai eu l’occasion de voir ce film en salle et en 3D. Et pour une fois, la 3D en rajoute vraiment, au point de nous donner le vertige. Il ne faut pas non plus ĂȘtre claustrophobe pour voir ce films tant l’angoisse de Sandra Bullock, coincĂ©e dans son scaphandre et incapable de contacter la Terre se transmet au spectateur qui tremble avec elle. En outre, Gravity offre rĂ©ellement des images Ă  couper le souffle, accompagnĂ©e d’une musique discrĂšte mais suffisante pour mettre l’ambiance. Un film Ă  conseiller pour tous ceux voulant affronter l’insondable espace et le vide qui s’en dĂ©gage. Interstellar, de Christopher Nolan 2014 Affiche du film Interstellar Dans un futur proche, la Terre est devenue de moins en moins accueillante pour l’humanitĂ© plongĂ©e dans une grave crise alimentaire. Cooper, ancien pilote de la NASA devenu agriculteur, vit dans une ferme avec sa famille. Sa fille Murphy, ĂągĂ©e de dix ans, croit leur maison hantĂ©e par un fantĂŽme voulant communiquer avec elle. En suivant les indications du fantĂŽme » Cooper dĂ©couvre de vieilles installations de la NASA et une Ă©quipe qui s’apprĂȘte Ă  aller explorer un trou de ver prĂšs de Saturne. Le but de la NASA et de cette mission est de sauver l’humanitĂ© en trouvant une autre planĂšte habitable. Ce trou de ver serait le moyen d’atteindre relativement rapidement, sans voyages intersidĂ©raux de plusieurs millĂ©naires, de nouvelles planĂštes dans une autre galaxie. Cooper accepte la mission et s’embarque pour ce pĂ©rilleux voyage. Visuellement le film est magnifique. ScĂ©naristiquement il s’agit d’un des chefs d’Ɠuvre de Nolan. Malheureusement pour moi, comme beaucoup de Nolan Inception, Shutter Island, Memento, j’ai du mal Ă  suivre toute l’histoire. Le film n’en reste pas moins le chef d’Ɠuvre de son Ă©poque encensĂ© par la critique et les spectateurs. Mais un peu Ă  l’image de son prĂ©curseur 2001 l’OdyssĂ©e de l’espace », nombreux sont ceux ressortis de la projection avec une foule de questions. En effet, si le dĂ©but du film et la problĂ©matique globale s’avĂšrent assez aisĂ© Ă  suivre, le dĂ©nouement reste obscur, sans doute Ă  la libre interprĂ©tation de chacun, comme sait si bien le faire Nolan. Pour autant, ce film n’est pas Ă  bouder, bien au contraire. Vous n’en ressortirez pas indemne, c’est tout ! Seul sur Mars, de Ridley Scott 2015 Affiche du film Seul sur Mars Lors d’une expĂ©dition sur Mars, l’astronaute Mark Watney est laissĂ© pour mort par ses coĂ©quipiers, une tempĂȘte les ayant obligĂ©s Ă  dĂ©coller en urgence. Mais Mark a survĂ©cu et il est dĂ©sormais seul, sans moyen de repartir, sur une planĂšte hostile. Il va devoir faire appel Ă  son intelligence et son ingĂ©niositĂ© pour tenter de survivre et trouver un moyen de contacter la Terre. À 225 millions de kilomĂštres, la NASA et des scientifiques du monde entier travaillent sans relĂąche pour le sauver. Pendant ce temps ses coĂ©quipiers tentent d’organiser une mission pour le rĂ©cupĂ©rer au pĂ©ril de leurs vies. PassĂ© le cotĂ© dramatique de la situation, et mĂȘme si le film envoi du lourd cotĂ© image et casting, il souffre tout de mĂȘme d’un point nĂ©gatif assez important aucune angoisse. PassĂ© la constatation de son abandon, Matt Damon devient le petit gĂ©nie qui trouve rĂ©ponse Ă  tout. Qui n’abandonne jamais et se paye mĂȘme le luxe d’ĂȘtre arrogant. Ce qui sort un peu le spectateur de son empathie envers lui. En effet difficile de craindre pour sa vie lorsqu’on le voit rĂ©soudre les problĂšmes les uns aprĂšs les autres Ă  vitesse grand V. Le film offre quand mĂȘme une touche d’humour, quelques clins d’Ɠil ici et lĂ  Ă  la pop culture et une ambiance musicale pour le moins
 dĂ©concertante. À voir, au moins une fois, parce que c’est un Ridley Scott aprĂšs tout ! Passengers, de Morten Tyldum 2016 Affiche du film Passengers L’ Avalon », fait route vers une lointaine planĂšte colonisĂ©e. À son bord, plus de 5 000 passagers sont en sommeil dans des capsules d’hibernation, pour ce voyage d’une durĂ©e de 120 ans. Mais, l’une de ces capsules connaĂźt un problĂšme et rĂ©veille son occupant, Jim Preston, 90 ans trop tĂŽt. TrĂšs vite, il dĂ©couvre qu’il n’y a aucun autre passager Ă©veillĂ© Ă  bord. Et il ne peut retourner dans sa capsule, ni rĂ©veiller l’équipage. AprĂšs des mois de dĂ©sƓuvrement Ă  bord du vaisseau, il dĂ©couvre alors que celui-ci court un grave danger. La vie des milliers de passagers est dĂ©sormais entre ses mains
 Jennifer Lawrence et Christ Pratt offrent une trĂšs belle prestation dans ce film et leur duo fonctionne Ă  merveille. De dĂ©couvertes en rebondissements, le film maintient le spectateur en alerte du dĂ©but Ă  la fin. Et si le scĂ©nario de celui-ci est somme toute assez banal, l’ambiance et les dĂ©cors ahurissants cassent la monotonie. Bref, un film familial et plein de surprise qui vaut le coup d’Ɠil. Bonus. Quelques films qui tournent autour de l’Espace, sans ĂȘtre rĂ©ellement des films de science-fiction ou des huis-clos. Mais qui font tout de mĂȘme partis des films qui m’ont marquĂ©e. Armageddon, de Michael Bay 1998 Affiche du film Armageddon Pas vraiment un huis-clos puisqu’une grande partie du film se passe sur Terre comme pour Apollo 13 ou Seul sur Mars. Mais avec un enjeu autour de l’espace puisqu’un astĂ©roĂŻde meurtrier fonce droit sur la Terre. Et seule une petite Ă©quipe de foreurs menĂ©e par Bruce Willis et Ben Affleck peut faire quelque chose. Plus film d’action que film de science-fiction, celui-ci n’en reste pas moins un des incontournables du genre pour qui aime Michael Bay. Toute l’intrigue tourne quand mĂȘme autour de l’espace et de la destruction de cet astĂ©roĂŻde qui vient anĂ©antir l’espĂšce humaine. Les Figures de l’Ombre, de Theodore Melfi 2016 Affiche du film Les Figures de l’Ombre Pas d’images d’espace dans le film. Son sujet principal est la NASA et la course Ă  la Lune du temps de la Guerre Froide. Les personnages principaux sont des femmes, ces fameuses figures de l’ombre ». À l’époque des dĂ©buts de l’ordinateur, il fallait bien quelqu’un pour calculer Ă  la main toutes les trajectoires des fusĂ©es et autres calculs indispensables pour envoyer une Ă©quipe dans l’espace. InspirĂ© de l’histoire vraie des trois plus cĂ©lĂšbres calculatrices de la NASA, le film raconte autant l’histoire de cette course Ă  la Lune face Ă  l’URSS et que le combat de ces femmes noires pour se faire reconnaĂźtre et gagner leur place dans la grande institution qui les embauche. À conseiller pour tous ceux intĂ©ressĂ©s par l’envers du dĂ©cors ». First-Man – Le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle 2018 Affiche du film First Man, le premier Homme sur la Lune Le film retrace la vie de Neil Armstrong, de ses dĂ©buts Ă  la NASA jusqu’à son premier pas sur la Lune. Plus documentaire que rĂ©el film de science-fiction et encore moins huis-clos, il permet nĂ©anmoins de comprendre tout le chemin parcouru pour arriver Ă  rĂ©aliser un tel exploit. Et pour apprendre Ă  connaitre l’homme derriĂšre la LĂ©gende. Un film intĂ©ressant Ă  voir qui permet de recontextualiser toute la vie d’Armstrong et d’en dĂ©couvrir plus. LĂ  encore un film Ă  conseiller pour voir l’envers du dĂ©cors ». Et dĂ©couvrir tout ce qu’on ne sait pas sur la NASA et ces hĂ©ros de l’espace. Et vous ? Quels sont vos films dans l’espace prĂ©fĂ©rĂ©s ? N’hĂ©sitez pas Ă  voter au sondage ou Ă  laisser un commentaire pour nous le dire.
. 399 368 374 464 235 391 16 7

affiche film 2001 l odyssée de l espace